Publié dans Culture

Nostalgie - Le « Revy Mahaleo » revient

Publié le mardi, 05 mars 2024
Les deux chanteurs, accompagnés de leurs progénitures, mettent toujours plein la vue après 50 ans de carrière artistique Les deux chanteurs, accompagnés de leurs progénitures, mettent toujours plein la vue après 50 ans de carrière artistique

Ils ont eu une carrière prospère et ont atteint un âge vénérable où ils pourraient choisir d’arrêter de travailler. Ils souhaitent pourtant continuer à créer. Après plus d’un demi-siècle de service musical, les deux survivants du groupe Mahaleo s’apprêtent à continuer d’être des artistes et à monter sur scène pour continuer la fameuse formule « Revy Mahaleo » afin de réunir tous les fans au même endroit. Au plus grand plaisir de ses inconditionnels, Mahaleo revient à Antsahamanitra. Il retrouvera son public ce 17 mars à partir de 15h. Et l’on ne change pas une équipe qui gagne. De ce fait, comme à l’accoutumée, les fils du groupe Andrianaivo Tahina (fils de Charles), Maharo (celui de Dama), Popol (fils de Bekoto), Rado (celui de Fafah) et Benaivo accompagneront les deux derniers membres initiaux du groupe. Ce sera ainsi une autre retrouvaille amusant et satisfaisant pour les nombreux spectateurs qui assisteront au show. Cette autre rencontre prouve encore le fait que même s’ils ne sont plus que deux à former le groupe après la disparition des autres membres, les deux survivants - avec le soutien du public - continuent de perpétuer le « Revy Mahaleo ».
Mahaleo n’a plus rien à prouver, depuis un peu plus 5 décennies de carrière. Il continue de garder ses fans en haleine avec ses chansons à texte assez engagées et ses ballades romantiques. Ce légendaire groupe ne cesse de surprendre l’assistance par son charisme. Dama et Bekoto continue à cultiver la proximité avec le public. Un lien qu’il a su tisser à travers ses morceaux intemporels et indémodables.
Attise
Après un demi-siècle d’existence, on ne présente plus le groupe Mahaleo. Une immense formation qui continue de séduire les fans de la première heure, tandis que la nouvelle génération découvre son style musical intemporel. Encore une fois, comme d’habitude, Bekoto et Dama, tout au long de leurs prestations, derrière leurs instruments de prédilection, que ce soit la guitare, le clavier ou encore le « farara » pour Dama, le show ne pourrait être qu’exceptionnel. De plus, les descendants des membres groupe qui vont les accompagner sur scène se disent déjà prêts pour le grand show. Ceux qui ont déjà assisté au précédent « live » savent que ce concert est à ne manquer sous aucun prétexte. D’ailleurs, Dama et Bekoto conseillent vivement aux fans d’acheter au plus vite possible leurs tickets d’entrée. Pour ne pas manquer l’occasion, les billets sont en vente dans les magasins Mass’in, Nect’Art Ankaditapaka, ainsi que sur la plateforme de vente en ligne https://www.ticketplace.io.
Si.R

Fil infos

  • Animaux sauvages saisis en Thaïlande - Œuvre des réseaux de trafiquants à Madagascar
  • ACTU-BREVES
  • JIRAMA - Ron Weiss, nouveau directeur général
  • Production d’énergies renouvelables - L’Etat encourage les investissements privés
  • Actu-brèves
  • Coopération Madagascar-Maroc - Une seconde visite du Roi Mohamed VI se précise
  • ACTU-BREVES
  • Lutte contre la famine et les fléaux climatiques - Le Président Rajoelina plaide pour une hausse des financements
  • Actu-brèves
  • Energie renouvelable - Le premier parc éolien de Madagascar opérationnel début 2025

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

A bout portant

AutoDiff